慈禧 Cixi-乾隆 Qianlong

1 août 2017 § Poster un commentaire

Concubine Xin《心写治平》忻嫔部分

Jeux de cartes, 10 yuans, avec figure des empereurs.

Que rapporter d’un périple ?

Des vues de touriste. La rue grasse et bruyante de Wangfujing, scorpions en brochette, nouilles, yaourts, glaces, pommes de terre ciselées sur un pic et cuites façon chips, qui évoque la rue Bon-Augure de Chi Li. Les rues défoncées de Datong. Paysages vus du train, partout groupes d’immeubles de trente étages sans carreaux et vides. La Cité interdite sent les écuries. Gousse de glycine prise sur l’un des arbres séculaires dans le temple de Confucius. Relu Lao She, puis L’ivrogne dans la brousse, puis Balzac. Des gens sans frères ni soeurs. Chaque soir, traquer notre série télé sous-titrée en anglais du respectable et silencieux moine bouddhiste et de ses disciples Porc, Singe et Poisson qui finissent récompensés par un dodu Bouddha et deviennent Bouddha, sauf Porc qui doit nettoyer et pourra manger les restes, puis un film avec Jackie Chan, trois soirs de suite. 200 chaînes. Une chaîne vouée aux plafonds des pagodes, à l’assemblage des consoles et des charpentes. Chaque soir, vouloir en faire l’inventaire, entre télé-achat,  jeux, émissions culinaires, films TV sur l’une des deux guerres sino-japonaises, talk-show, opéra, drames sentimentaux sur fond de révolution culturelle, et puis wuxia. Renoncer. Vu film en couleurs des années 60 ou 70 ou 80 ou 90, en chinois, quatre puis cinq enfants traversent des contrées, pratiquent le Kung-fu, en font une démonstration devant des lamas, repartent, fuient, sont capturés par des bandits qui jaillissent de la neige et les saisissent et les ligotent et boivent ensuite, c’est alors qu’une mère puis des villageois les sauvent après des combats. Impossible de connaître le titre : très beaux plans, visages, campagne. Un soir, grande place de Datong, cinéma de plein air, film couleurs années 60 ou 70 ou 80 ou 90, une guerre, querelles entre soldats, bagarre devant un train, une femme-soldat photographe, là encore, vision comme issue d’un rêve, ou un film d’enfance, vu il y a longtemps, dont on se doute, comme pour le premier, qu’on ne comprendra pas tout, qu’on ne pourra pas le revoir, qu’il a le statut des gens qui passent dans les rues. Difficile de suivre, un magnéto dispense une musique de variété à fond pour trois puis quatre couples qui dansent devant un public peu nombreux ; les hommes vêtus de noir font de grands gestes saccadés moitié rock moitié flamenco, tous ensemble ; les femmes, d’un certain âge comme leur cavalier, vêtues avec style, ou plutôt un apprêt. Ils dansent avec emphase et beaucoup de plaisir. Danser en public est très intéressant. Au même moment, ne cessant de faire le tour de la grande place dans tous les sens, disparaissant à un angle, reparaissant par une autre rue, au pas de course cadencé par des chants, une troupe en rang de trois, les premiers vêtus de t.-shirt bleus, les derniers non, pratique une manière de gymnastique collective et fend la petite foule des promeneurs et des enfants qui ont loué de petites voitures lumineuses électriques en forme d’animaux ; tous circulent dans une chaleur étouffante. Thé au chrysanthème à la terrasse du restaurant qui surplombe tout, et la situation du film se perd, la femme-soldat est tombée, ses cheveux dissimulés par une casquette sont découverts par un soldat qui a le choix sans doute entre la dénoncer ou l’aimer ; le visage de la femme. Ils ont monté l’écran pour la projection du film à deux : un homme et une femme, laquelle, étrangement, a gardé son sac à main tout le temps de l’édification de l’écran déballé en kit d’une camionnette, sac qui lui tombe de l’épaule à tout instant mais qu’elle conserve et qui la démarque socialement. Ils sont aidés par des gens quand il s’agit de hisser l’écran. Il y a du vent, mais ça tient. Idem pour les enceintes reliées à des fils tirés d’on sait où et qui diffusent le son.

Nombreux compléments du nom et des libellules. Premier jour : Shichahai, bords du lac Qianhai, pont du lingot d’argent ; deux policiers demandent de circuler. Coucher de soleil sur le lac.

Vu poissons rouges. Dans quel bassin ? Quel temple ?

Cure : Xu Jinglei, Takeshi Kaneshiro, Jet Li, Andy Lau  dans Les Seigneurs de la guerre. Ip Man (avec Donnie Yen), Ip Man 2, Ip Man 3 (les deux). A Touch of Zen. Wu.Xia.-.Swordsmen, avec Takeshi Kaneshiro et Donnie Yen. Yu-Hsun Chen. Wing Chun, une comédie avec Donnie Yen et Michelle Yeoh ; revoir A touch of Sin, A Battle of wits, Les trois Royaumes avec 赵薇, Zhao Wei, qu’on retrouve dans Mulan. Sur Youtube, des films des années 50, 60, découvrir Raining in the mountain (avec Hsu Feng, vue dans a Touch of Zen)(prière des moines devant le bain des femmes), The red detachment of women, Dimanche à Pékin, de Chris Marker… Happy Times (adapté d’un livre de Mo Yan), de Zhang Yimou… Reign of Assassins (« Je veux me réincarner en un pont de pierre et subir le mauvais temps pendant cinq cents ans… »)… Un site http://www.chinesemovies.com.fr., donne de larges extraits, parfois des films complets et analyse et présente en français, contrairement à ce qu’annonce le titre ; son pendant en littérature : chinese-shortstories.com, également en français.

Même hybris dans les films de wuxia qui se soldent chez les mauvais par leur perte ou leur ruine ; ils chutent ; le héros, lui, tombe, mais rebondit, connaît une phase de purgatoire, la reconnaissance de la vraie voie (la nature, la nation, la famille…) au terme d’un stage accéléré à la campagne, dans le deuil, auprès d’un sage ou tout seul, puis le rachat. Nombreux aveugles.

Les Rembrandt au Musée national.

A la télévision, mesures prises pour la tenue des hutongs. Autre émission vouée aux drames de la circulation, alcool, accidents.

Très vite, découverte de Miniso, le premier en face de la tour Omega à Wangfujing, plusieurs magasins en revenant vers Dengshikou. Xi’an, idem. Une variation coréenne à Muta : Mumuso. Miniso : cosmétiques, connectiques, peluches, coques, lampes, le même dans Nanluoguxiang bondé (South Luogu Alley), pour revenir dans Banchang Hutong à l’hôtel Lu Song Yuan. Temple du superflu, Miniso ne vend que de l’accessoire beau et bon marché. Beau, c’est-à-dire que tous les produits sont doux aux doigts, les plastiques sont presque duveteux, les couleurs souvent pastels n’offensent pas ; beaucoup d’objets vendus sous emballage embouti, protégés ; produits également bien clos sur eux-mêmes, estampillés du nom de la marque et présentés dans leur simplicité de naissance, sans vis ; de nombreux coussins pour avion très mignons (cf. Okja, la présidente et son coussin d’avion Burberry).

Nord-Sud-Est-Ouest, les rues, les lieux, utilisation fréquente de la boussole. Les odeurs, les textures. Les apparences : visqueux, poreux, poussiéreux, lisse, brillant, satiné… nom d’une couleur d’un certain jade : blanc graisseux.

Juxtaposition. Barre d’immeubles pauvres dans le quartier de la tour CCTV, dans les rues. Problèmes de riches qui se soldent par des agrégations de magasins en mall. Étage de restaurants à Wangfujing. Plusieurs immeubles collés reliés par des enfilades de magasins luxueux. L’urbanisation pense à l’argent.

C’est ainsi qu’on voyage, comparant, généralisant, rapportant à soi et devenant spécialiste en quelques jours de vastes et anciennes contrées. Apprendre le caractère « porte » en mandarin, en cantonais, le prononcer, le rapporter à des mots reconnus dans le métro. Leçon de prononciation sur une autoroute du Shanxi. Et, au détour de nombreux champs, parfois regroupées aux abords d’un arbre, des tombes : une stèle et un monticule de terre presque conique.

Quartier des calligraphes de Xi’an, de Pékin (une file de rickshaws chargés de touristes chinois, leur sonnette).

Toujours trente degrés, parfois 35. Dégoulinons, suons, poissons tout le jour. Bouteilles d’eau de la marque C’estBon à étiquette verte.

Séance de photos au Palais d’été : 4 ou 5 femmes demandent à se faire photographier avec Carlotta, ensemble puis les unes après les autres. Le paysage entier est une carte postale. De tous les côtés, le lac et ses lotus en fleur, le pont, l’île, les bateaux, les palais, les consoles, le paysage est un souvenir à immortaliser. Elles tiennent chaque fois à adopter une pose identique avec le lac en arrière-plan : un bras dans le dos de Carlotta, elles tiennent tour à tour sa main pour former une anse. Carlotta s’oblige à sourire de ce manège. Elle a l’habitude. Plus tard, sur le bateau, un petit garçon résiste, n’ose pas, puis, poussé par sa mère, demande également à être pris à côté de Carlotta. Tout le temps, partout, du premier jour au dernier, même demande. Au Palais du Ciel, le petit monsieur vendeur de courges séchées veut une photo ; il offre ensuite une de ses petites courges.

Assiettée de 20 dumplings.

Fontaines de vinaigre dans les rues de Pingyao. Nouilles biáng biáng, trois fois de suite au Petit Resto. (le caractère biáng et ses 57 traits).

Musique entêtante toujours la même diffusée par un petit poste qui produit en même temps des éclairs lumineux hypnotiques et auréolent un Bouddha dans de nombreux temples. Qu’on n’aime d’abord pas. Puis qu’on chante. Qu’on filme.

Assis sur un des tabourets d’une petite boutique, regarder passer les gens, se démener un petit véhicule de balayeur qui fait demi-tour, un Européen seul, rouge, en sueur qui demande la direction du Temple de Confucius ; il est trop tard pour l’entrée, on ne dit rien, on n’est pas sûr, on dit à 200 mètres ; le même quelques minutes après en sens inverse.

Le temps de ne rien faire, de traîner dans les rues de Pékin, sans rien visiter, s’asseoir sur des marches et regarder passer les gens, idem à Xi’an. Ou bien visiter de haut en bas la grande librairie sur Wangfujing, sept ou huit étages, et tout en haut instruments de musique où une jeune fille essaye un violon devant sa mère et un vendeur, et joue avec coeur. Enfiler les hutongs. S’y perdre, s’y retrouver, s’y faire conduire par une vieille dame jusqu’à la maison de Lao She (fermée jusqu’en 2018, mention traduite par deux filles venues visiter aussi et qui se sont cassé le nez sur la porte close et l’avis). Tomber sur un musée de quartier un autre jour sur la vie dans les hutongs, l’architecture d’un siheyuan (si : le chiffre 4), découvrir que le dit hutong date de la période Ming.

Le rapport subi, direct, implacable, omniprésent de la loi et donner l’apparence du contraire. Ne pas la donner, vivre comme on a toujours vécu.

Le sourire de Lily, noté par les clients.

Croiser, au moins deux fois pour qu’on puisse dire plusieurs fois et s’en faire une généralité, une famille française composée de la mère, du père et de trois enfants (une grande fille, une moins grande et un garçon), chaque fois sacs à dos, chaque fois homme sec et sympa vêtu d’une chemisette à carreaux ; très unie, très déterminée ; retour Pékin, discussion avec le père dans la file d’attente au guichet des tickets de métro : ils ont fait Pékin-Xi’an assis, 13 heures de train, mais ont joué aux cartes avec des voyageurs. Dans le métro, ensuite, même direction, même correspondance et même station finale, mais eux très mobiles disparaissent dans la foule des passants.

A travers le pare-brise, Mr Wong aperçoit quatre chiens, les pointe du doigt : « des chiens sans boss ! » Il indique également, en passant devant, la vieille centrale à charbon encore en fonction, construite il y a 60 ans, grande route défoncée sale, noire, nombreux camions énormes noirs. Il a plu et les fondrières sont pleines d’eau ; il les évite du mieux qu’il peut et le petit bouddha dont la tête est montée sur un ressort qui décore son tableau de bord ne cesse de hocher. Tous les objets du tableau de bord sont collés avec du scotch double face : gros réveil à aiguilles, carnet, Bouddha donc. Tout à l’heure, à vingt à l’heure sur l’autoroute à huit voies presque déserte, il a roulé au milieu tâchant d’éviter les inondations du bord ; un paysan sur le bas-côté occupé à ouvrir une brèche dans le remblai pour irriguer les champs, délester la route. Il ne parle que d’argent. Eclate de rire en indiquant une voiture à trois roues. Lendemain, toutes les rues autour de la gare de Datong sont inondées, comment traverser ? Ôter les chaussures. De l’eau au-dessus de la cheville.

Tous les véhicules étroits, faits pour les hutongs. Dispute entre deux automobilistes dont les véhicules sont nez à nez à l’entrée d’une ruelle.

Retour sur les bords du lac Qianhai ; assis sur des marches. Un mendiant véhément, il faut s’écarter, se lever. Autour d’un kiosque, petite foule de gens qui entoure un orchestre : Erhú (violon à deux cordes), une flûte, des petites cymbales, un gong à main qui distord ou arrête les notes, des claquettes (kuaiban ?), un autre instrument de percussion, un chanteur. Des intensités, des accélérations, mais tout nous reste abstrait sinon cacophonique. Plus loin, des baigneurs, une pancarte interdit la baignade ; un homme crie, appelle à la baignade ; il fait très chaud. Promeneurs nombreux ; toujours nombreux policiers, nombreux balayeurs.

Fenêtre ouverte. Toute la journée, la mère vocifère et dispute ses enfants dans l’immeuble en face. Évidemment, avec la distance, impossible d’entendre les paroles douces et peu sonores qu’elle doit leur dispenser. Cependant les enfants pleurent très souvent.

Véronique Sanson.

Belle lune ronde ce soir.

8/8. Il y a quelques années, il a cru parfois, il croyait parfois qu’il pouvait présenter bien, être bien ; à cette fin, il s’était acheté une chemise à motif vichy bleu qu’il a mis peu. Il la retrouve bien repassée au fond d’un carton parmi des souvenirs, l’essaye ; sa coupe est passée de mode. Il ne se rappelle pas du tout à quelle période de sa vie la chemise correspond.

Il pleut doucement.

Le 15 août à Castorama. 2 caisses ouvertes, un vigile, un pompier, une dame au rayon des peintures, deux hommes de l’Est soupèsent des outils, un couple (frère-soeur) à la caisse (lui l’air ennuyé, contrarié, la jeune femme paye, il porte), un type à la peinture se fait confirmer que l’ensemble rouleau-perche est efficace, un gros présente un vernis au vendeur, s’est trompé, c’est pour meuble, lui veut pour parquet ; un autre étudie longuement les vernis teintés, une femme les décapants universels, une autre retrouvée à plusieurs rayons, lit, compare, ne demande rien. Retour en vélo, doublé deux, trois, quatre fois, sans doute plus sur le boulevard vide. Peindre ensuite avec Jan Blanc et « Le mystère Vermeer » (débuté à Helsinki mais pas fini (quatre parties, n’écoute que les deux premières avec Jan Blanc, formidable, la troisième amenée par un certain philosophe pesant, approximatif, qui lit son texte, trop satisfait de lui (« c’est ainsi que je vois ce tableau ! ») fait lâcher l’écoute)), puis L’Iliade racontée par Philippe Brunet formidable sur France-cul, L’Odyssée racontée par un écrivain ne marche pas. Il est temps vers 18 h d’un peu d’animation : le ciel noircit, il va pleuvoir, peut-être tonner.

Faite d’arrachements parce que, quoi ? on connaît toutes les notes… Non… On ne connaît parfois pas précisément à quel passé appartient tel ou tel tube de variété… faite d’arrachements au passé, la musique… elle verse dans la mémoire ses séquences… On les attend, on les retrouve. On est touché. Notre coeur se déchire. Sentimental.

Un seul texte, à y penser pour alimenter le propos, produit, réserve un effet de retour ; très différent dans l’impact et le rattachement à quelque passé parce qu’on l’a lu seul et que le moment de sa lecture s’est perdu sans regret (i.e. qu’il ne s’accompagne pas, comme pour la musique, de tristesse du temps révoqué) ; il s’agit du passage des Confessions dit « l’idylle aux cerises », lui-même déjà souvenirs pour son auteur.

Les labos travaillent à ôter l’odeur de la peinture. L’étiquette précise, sans odeurs. Insidieuse et présente, celle du blanc de chez Tollens emplit l’appart. Terminé la première couche avec la mort d’Hector.

Lis Le Pays de l’alcool de Mo Yan.

On ne sait jamais comment faire avec lui, comment se comporter ni même comment lui faire plaisir. On finit par ne plus le voir et on attend des mois des nouvelles qui ne viennent pas. On se prend alors à en demander et c’est avec la plus délicate attention qu’on se lance à évoquer son travail, alors, ça avance, ou bien tu avances. Alors, lui, dans une sorte de furie…

C’était un très gros morceau de viande et il n’avait pas sous la main de quoi le sectionner pour en faire plusieurs bouchées. Les dents, moins coupantes qu’il espérait… Il avait commencé à avaler la partie la mieux mâchée tout en continuant de tenir devant la bouche la fin… s’il s’étouffait, il n’aurait qu’à tirer d’un coup pour dégager la gorge… Il aurait dû boire avant ; la viande avalée n’allait-elle pas adhérer et, en revenant, arracher à sa position l’œsophage… d’un coup d’un seul, il allait aussi bien s’éviscérer… un nerf, voilà ce qu’il percevait entre les doigts, un nerf, c’était depuis le début, un nerf qui parcourait ce grand et large morceau de viande et qui avait empêché qu’on le coupe ; il avait pu avaler et déglutir une partie du morceau de viande qui avait pu poursuivre son chemin… relié par ce seul nerf… une partie dans le ventre, ou bien avancer dans le ventre, l’autre dans la bouche et une autre pendant des lèvres… il n’avait plus faim…

Comment éviter à cette histoire les lourdeurs du genre où elle s’inscrit ? On ne le peut tout simplement pas, sous peine de sortir du genre, de détruire l’histoire.

Aura-t-on assez de temps pour se lancer dans l’écoute de Daniel Arasse et ses « Histoires de peinture » ?

Le jeu consiste à détruire les éléments constitutifs du jeu en cliquant sur des endroits particuliers, subtilement et agréablement répartis sur l’écran, jamais les mêmes d’une partie à l’autre. C’est très prenant parce que simple et récurrent. Et le sentiment d’un accomplissement accompagne toujours la fin. Le jeu permet de faire tout autre chose en même temps, penser par exemple.

Le riz, on en fait toujours trop. Genres de phrases qui plaisent, vont comme des gants à toute heure du jour, ne mangent pas de pain. Sociologiquement assises dans un réel de bon aloi, elles ouvrent de ces petites vérités et rassasient l’esprit d’un coup, suscitent le sourire. « Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée… »

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