L’espionne ruse

24 décembre 2018 § Poster un commentaire

Subterfuge qui passe crème, vu l’heure et les verres bus. Alors elle amorce un striptease à cinq mètres de lui. Pour montrer ses belles fesses. Conserve son collant. Impossible de la toucher à cette distance. Quand elle revient autour du plan de cuisine où il est resté assis, elle a baissé sa jupe et ressert deux verres de vodka. Toute sa ligne de défense maintenant pour repousser ses avances et ses mains consiste à solidifier des liens qu’elle aurait avec un amant de province ; cependant qu’elle prend place à califourchon sur ses cuisses. Il est presque 2 heures.

Yan Poxi et Song Jiang (Au Bord de l’eau). Second tome, maintenant, aventures de Li Kui, surnommé Le Tourbillon-Noir, et ses deux haches ; lui aussi s’attaque à des tigres, en tue quatre (cf. Wu Song). Notion de héros décalée de celle des chevaliers. Wu Song, Song Jiang (physique ingrat), et Li Kui commettent des actions disqualifiantes. Vengeance personnelle, ivrognerie, impéritie (la mère de Li Kui laissée seule dans la forêt est mangée par les tigres)… et en face, il est vrai, injustice, loi inique, seigneurs cruels, fonctionnaires sans scrupules et malhonnêtes… L’enrôlement des braves engendre des péripéties qui mettent en péril le repaire.

L’intrigue est maintenant tout à fait élucidée : par épisodes successifs, des braves (108 au total), épris de justice ou ayant eu maille à partir avec, rejoignent à mesure le repaire des marais des Monts-Liang. (Plusieurs aventures évoquent celles des Mille et une nuits.)(Traditionally, girls in the Zanzibar Archipelago are discouraged from learning how to swim, largely because of the strictures of a conservative Islamic culture and the absence of modest swimwear. But in villages on the northern tip of Zanzibar, the Panje Project (panje translates as ‘big fish’) is providing opportunities for local women and girls to learn swimming skills in full-length swimsuits, so that they can enter the water without compromising their cultural or religious beliefs.)(cf.https://www.worldpressphoto.org/collection/photo/2018/people/anna-boyiazis)

Il est 23 h 58, 59. Je n’ai pas fini le texte sur Pékin. 00h29.

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