Ce que nous ont laissé nos parfums
12 février 2019 § Poster un commentaire
Voilà, restent 40 pages sur plus de 1600, il faudra s’éloigner des sables d’or des marais des Monts Liang.
Reprise L’institut Benjamenta.
Rester en dehors
7 février 2019 § Poster un commentaire
tout le temps
assez de temps.
Le temps ne manque pas
Il faut bien pouvoir s’inscrire pourtant
suivre les cours, obéir. Ce n’est pas danser ; il s’agit plutôt d’une chorégraphie, apprendre les gestes.
Rester étranger. Prétendre, de sa place, aller plus loin que celui qui s’agite.
«Nous apprenons très peu ici, on manque de personnel enseignant, et nous autres, garçons de l’Institut Benjamenta, nous n’arriverons à rien, c’est-à-dire que nous serons plus tard des gens très humbles et subalternes.» Robert Walser.
Ce matin, souvenir de la boîte confectionnée par Raskolnikov pour peser dans la main de la vieille usurière et détourner son attention au moment de la tuer. Et tout de suite après, souvenir de Lizaveta, qui ne devait pas être là, innocente.
Mis à jour
4 février 2019 § Poster un commentaire
Mis à jour du site. Défini par des blocs, le protocole de la page exige une forme pensée alors qu’on est là pour du brouillon. Les photos s’y trouvent sises et distordues. Broutons.
Song Jiang est tombé malade ; on part lui chercher le meilleur médecin et ce sont encore des péripéties : messager attrapé, ficelé sur une jonque, jeté à l’eau, son or et ses taëls d’argent saisis… Restent quelque 200 pages à peine… Dans la ville voisine, le meilleur mire (le seul susceptible de guérir Song Jiang) ne veut pas se déplacer ; il est la proie d’une chanteuse qui l’enivre…