Passer à autre chose

17 Mai 2019 § Poster un commentaire

19/05/19, couru sous la pluie, au marché, mêmes herbes + feuilles de moutarde

jeudi précédent, vélo Chai, Pierre, A.M. (qui part), puis Marie et sa nièce qui passa 15 ou 5 ans en Chine, et Francesca qui disparaît à un moment. Nouvel article à écrire, délicat, peu de temps.

Reprise du Journal de Kafka + Deleuze sur le même. (la relecture du Journal réadresse non pas à l’époque de son auteur, mais à celle d’un âge où on commençait à le lire ; et c’est ainsi que, grâce à quelques livres, on s’ouvre à une éternelle jeunesse, non, à des échos de son propre passé !). Déçu par le dernier livre de Chi Li, Une ville à soi, peinture psychologisante, répétitive, duel/duo patronne/employée mère/pseudo-fille.

LE FOND DE L’AIR EST GRIS

4 Mai 2019 § Poster un commentaire

Pas frais. GRIS

GRIS

GRIS

Ça sort le 16 mai, hélas ! en l’état. Tout est perdu du travail, de la référence à Chris Marker, de cette Chine à ciel gras et sans soleil.

dimanche 5/4/19, couru, mieux, marché (herbes aromatiques).

Apparaît parfois au grand jour comme une chair dénudée, à vif, la plaie que nous pensions allant vers sa guérison toute seule ; toute seule ! ou même pas une guérison : souvent, on n’a pas le nez dessus, on n’en souffre pas. Quelle est notre possibilité d’action sur le monde et les choses ? Même à œuvrer doucement (« et tiens-toi plus tranquille… »)… c’est s’aveugler que de croire les choses allant seules vers leur destin… L’ignominie de ceux qui ne se mêlent de rien.

12/05/19, couru, herbes au marché. Après une semaine vélo, tennis à La Couarde. Une semaine assis aux audiences.

Où suis-je ?

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