vraie rentrée

douleur incompréhensible à la cuisse gauche, hier soir jeudi 5 sept, c’est-à-dire tout à l’heure, vélo, déjà Chai, Pierre et A.M., Anna en drame cubain, non pas drame, sentiment de la fin d’une liaison, va chercher le chien en novembre, son carnet de vaccination, passeport, etc, tout est nickel, le chien sera à Paris en décembre ; Marie va chercher Pascale, revient, Roberto et Anne sont en terrasse, Thierry, sur un coup, futur contrat intéressant ; nouvelles alarmantes de Christian, et sa mère (90) ; Mazarin, on sera dix, non, plus, deux tablées, trois, arrivent Francesca et Joël (on parle de San Francisco), passent Jean de L et Karen qui dînent derrière avec un autre type… Bruno : on apprend le départ prochain de Delphine. Assis à côté d’Anne B., face à Pierre et A.M., et Thierry sans place, tout au bout ; avec les heures et les départs, la table s’étrécit, est rejointe par Florentin, on cherche le prénom d’une de ses fiancées ; on finit Pierre, Thierry, Florentin, sans avoir vu partir les autres. Tard. Même les ennemis ou déclarés tels saluent. Saluent nos voix, notre vin, notre essor. Dégringoler l’escalier au retour.

(Maria Luisa Ceciarelli) 1963, L’attrice italiana Monica Vitti fuma. 1963

Relecture Des éclairs. Toujours dans L’Art perdu des fours anciens, de Jia Pingwa.

Jeudi 12 sept 2019, petit comité, Pierre, puis Francesca et Joël. Rentré tôt. Impossible de courir ces deux dimanches.